Cette pièce raconte la mise à mort de Maximilien Robespierre où deux tendances politiques s'affrontent. Chaque mot est un cri, chaque silence est une souffrance, le suspense y est permanent bien que l'on connaisse l'aboutissement de l'histoire, ce pour découvrir des hommes au coeur de la Révolution , pétris de conviction, d'amour, de haine, de lâcheté et de peur. Le 9 thermidor apparaît dans l'histoire de la révolution française comme le terme d'un épisode dramatique : La Terreur. Période sanglante de la Révolution où des milliers d'hommes et de femmes ont été guillotinés soit pour leurs idées, soit pour leur croyance, soit pour leur appartenance à un milieu social, mais le plus souvent guillotinés pour rien, uniquement par intérêt, par cruauté, par délation, guillotinés bien souvent sans procès. Un homme incarne à lui seul la Terreur. C'est homme, c'est Robespierre. Le 9 Thermidor est la date de sa chute à l'Assemblée et depuis ce jour il est aux yeux de notre histoire le grand responsable moral de la Terreur. Sans chercher à disculper Robespierre, sans vouloir transformer son image en celle d'un héros martyr, il est utile, pour l'honnêteté historique d'écouter ce qu'il a dit, de lire ce qu'il a écrit. Robespierre a été condamné sans procès. Il m'a paru intéressant de mettre en scène une forme de procès posthume afin que chacun puisse se faire sa propre opinion. Dans cette pièce, c'est un vrai débat politique entre deux thèses majeures qui s'affrontent : la vertu et la réalité politique. Ce débat est plus que jamais d'actualité. En ce début du 21ème siècle, où les français sont en divorce relatif avec leurs politiques, il est peut être utile d'entendre à nouveau les grands principes de la Révolution française. |
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Avec « Une nuit, une vie », on se croirait dans un film de CLAUDE SAUTET, qui sortirait de l'écran pour venir à notre rencontre sur une scène de théâtre.On retrouve la vie, la vraie, avec ses instants de drôlerie, d'émotion, parfois de cruauté. Lui, architecte, ayant réussi dans la vie, mais ayant raté sa vie, divorcé, seul, inquiet, se retrouve un quinze août dans un petit hôtel parisien. Elle, vive, drôle, courageuse, avec une vie difficile qu’elle bouscule de toutes ses forces, mais seule, victime d’un lourd passé qui la bride, est la femme de chambre de ce petit hôtel parisien. Ces deux solitudes vont se croiser, s’apprivoiser, reconstruire l’espace d’une nuit, une autre histoire, une autre vie. De leurs solitudes, ils vont faire un feu de joie, crépitant de rires, de bousculades, de chamailleries, de tentations et qui sait…au petit matin, d’amour. |
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Ils se prénommaient Armand, Charles, François, Jean. Ils étaient menuisiers, instituteurs, paysans, cheminots, ouvriers ou bourgeois. Ils devinrent soudainement artilleurs, fantassins, brancardiers… Voyageurs sans bagage, ils durent quitter leur femme et leurs enfants, revêtir l’uniforme mal coupé et chausser les godillots cloutés… Sur huit millions de mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions de jeunes hommes ne revirent jamais le clocher de leur village natal. Plus de quatre millions subirent de graves blessures…
Charles, François et Armand sont dans la tourmente de la première guerre mondiale. Ils le sont depuis le début. Ensemble, ils ont connu Verdun et autres lieux de désolation. En ce jour du 15 Avril 1917, ils viennent d’arriver sur le front après quelques jours de repos à l’arrière. Ils sont commandés par le lieutenant Rame, un jeune militaire issu de Saint-Cyr, autoritaire et manquant d’expérience au combat. Les rejoindront, dans la cambuse, Jean, un jeune soldat de vingt ans, pour qui c’est la première affectation, puis Adrien un camarade de retour de permission. Tous se retrouvent et vont vivre à l’aube du 16 Avril 1917, la grande offensive du « Chemin des Dames »... Basée sur le thème de la première guerre mondiale et à l’occasion de son centenaire, cette pièce a pour intention de préserver la mémoire de ceux qui ont soufferts et qui sont morts pour la France dans des circonstances plus qu’inhumaines. |
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La vie, la mort, le passage. Qu’emporte t’on avec soi, lors de ce
passage. Dans cette pièce ,
l’auteur prend l’option, que pour voyager loin, il faut partir
léger. Dans ce « no
man’s land » qu’est le passage de la vie à la mort, il
nous raconte la rencontre d’un homme avec ses remords. Remords dont
il doit se débarrasser pour continuer son voyage. L’histoire d’un
homme, face aux erreurs de sa vie. |
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Joseph Marlaud a démissionné du quai des orfèvres pour incompatibilité d’humeur avec les méthodes policières des jeunes générations. C’est un flic à l’ancienne. Il a donc créé sa propre agence de détective privé où les fins de mois sont parfois difficiles. Il est en pleine difficulté financière, quand cette nouvelle aventure se présente sous le charme d’une des plus belles poupées de luxe qu’il ait jamais admirée. Cette dernière recherche un mari volatile. A Marlaud de faire le boulot. Cette apparente petite enquête va le mener tout droit, dans le monde dangereux des diamantaires, des cadavres dispersés, des tueurs sans scrupules et autres fantaisies. Si vous avez du cran, suivez le guide et... Bonjour chez vous. |
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